Festival Big Bang au domaine d'O
Big Bang au domaine d’O !!
Big Bang, c’est l’origine et l’évolution du monde , c’est un rendez-vous ou les compagnies de la région proposent leurs visions singulières du monde, elles interrogent le public et proposent des moyens pour le percevoir autrement, pour le refaire… « Chacun à leur manière, les artistes de Big Bang tracent un chemin entre actualité et histoire, entre destin intime et dérive du monde. ».
Le Festival Big Bang se déroule du 21 février au 3 mars 2017 à hTh (Grammont) mais également au Théâtre d’O
Nous avons eu deux résidences d’artistes qui ont permis aux Compagnies de travailler sur leurs projets.
Le domaine d’O est partenaire des projets suivants :
1) Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s’annonce d’Hélène Soulié qui s’inspire du roman de Lola Lafon pour suivre le destin de trois filles, trois sœurs, qui rêvent de partir, mais ne partiront pas, ou peu, ou pas loin. Elles rêvent d’un changement qui n’adviendra pas, en tout cas pas pour elle, et de la rage qui est la leur face à l’obsession de la société pour la normalité.
Représentations les 21 et 22 février à 20 h. Infos et renseignements 04 67 99 25 00 ou http://www.humaintrophumain.fr/web/
2) « Le quatrième mur », coproduit par le domaine d’O. Le projet de Julien Bouffier est un film entre documentaire et fiction entre la France et le Liban. Il invite des artistes libanais à rejoindre son équipe dans ce spectacle où l’histoire et l’imaginaire, la guerre et la religion se télescopent et se répondent, pour faire traverser au public cette frontière entre réel et fiction que dessine la scène de théâtre. Ce film est programmé à hTh (Grammont) le 24 février 2017 à 21h et le 25 février à 20h. Infos et renseignements 04 67 99 25 00 ou http://www.13vents.fr/
3) Melankholía (μελαγχολία) de Mathias Beyler et Stefan Delon qui s’interrogent sur la grande maladie du monde occidental qui en fait aussi son génie, la mélancolie. Ses symptômes, que nous connaissons bien, sont la fuite en avant irrationnelle, la consommation, la recherche névrotique du nouveau, la perte du goût, de l’appétit, de l’émotion. Dans une recherche à la fois philosophique, esthétique et politique, ils imaginent la mélancolie comme le vaccin qui redonnerait à l’homme l’accès à ses sens.
Représentations les 28 février et 1er mars au Théâtre d’O, Salle Paul Puaux.