Le Lapin Agile ? L’Âne qui rit ? Deux célèbres cabarets parisiens qui ne renieraient sûrement pas l’humour loufoque et la fantaisie débridée de ces Mangeurs de Lapins...

Déjà présents l’an dernier, Benito et Giovanni avaient été ovationnés. Acrobates? Jongleurs ? Le doute subsiste longtemps après les derniers applaudissements...

Maman, papa, en rentrant à la maison, cachez votre boîte à outils...

Rose comme une chambre d’enfant, vert comme un jardin au printemps, les couleurs pimpantes de ce joli spectacle plongent les petits dans un univers familier...

Rouge comme des gants de boxe, noir comme la pénombre autour du ring, libre et vif comme une bande d’adolescents, aérien comme un quatuor de Schubert...

Pas d’escargot se faufilant entre les sauts des acrobates, les numéros d’équilibristes ou les jongleries très calibrées de ces cinq artistes descendus des alpages...

Encore ? Encore la galette, la bobinette ? Et le grand méchant loup ?...

Sur l’écran blanc d’une nuit très noire, un chat surgit de la pénombre, glisse au son d’un violoncelle et d’un saxophone projetés en ombre chinoise...

Tout le monde râle, tout le monde bougonne, même la mort n’est pas contente de son sort...

Dans un tout petit espace, aménagé comme une vraie salle de spectacle, ils découvrent la très belle histoire tirée du livre d’Alain Serres et de Bruno Heitz...

C’est un cirque minuscule, le plus petit du monde. Un cirque en miniature peuplé de petites figurines inspirées des sculptures de Calder et d’un étrange bestiaire...

Il y a Lolo, le vieux cabot, nul, vraiment nul. Et surtout il y a Bébert, le jeune chien, malin, espiègle et absolument craquant...

Un gardien d’oies ! Tout le monde a oublié ce métier tiré des contes de Grimm. Celui-ci s’appelle Pépiloué. Accompagné de son chien, il promène son troupeau de 50 oies, leur laissant exécuter quelques tours imprévus.

On peut leur donner du pain ? T’approche pas de trop, ils transportent des maladies ! Oh !! ma voiture… Encore ces pigeons !...