Ils jouent sur leur connivence, leur ressemblance. Même profil, même chevelure, même instrument à la main, le oud, cette merveille des luthiers d’orient. Un sourire à peine esquissé, un regard jeté, et le rythme s’emballe, s’adoucit, s’enfuit dans une fugue virtuose. Dans le sillage d’Asfâr, le voyage en arabe, les trois frères palestiniens et leur complice le percussionniste Youssef Hbeisch, ont envoûtés des milliers de spectateurs à travers le monde, conquis par la beauté surnaturelle de leurs mélopées inoubliables.

Presse

"Issues d'une lointaine et originelle musique classique arabe, leurs notes de oud actualisées dans une certaine modernité recèlent une envoûtante poésie acoustique, parvenant à transpercer et émouvoir les carapaces les plus dures. [...] D'une certaine manière, on pourrait affirmer que le travail du Trio Joubran pourrait avoir trait au politique. Dans le sens où ils parviennent à tisser une belle communauté d'individualités et de multiplicités réunies par le grâce de leurs doigts d'or, autour d'une thématique plus que jamais précieuse : La Méditerranée passée et actuelle...en attendant celle à venir". Valentin Lagares, César, Septembre 2014

« Plus qu’un instrument, une seconde peau donc, une extension de soi qui confère à leurs récitals virtuosité et puissance. Leurs cordes dialoguent, s’interpellent, donnant naissance à une musique du ressenti, de l’émotion, qui se passe de paroles pour évoquer la guerre et l’urgence de la paix. »
Frédérique Briard, Marianne, 26 janvier 2013

« Ces oudistes virtuoses à l'âpreté farouche et sensuelle, issus de la quatrième génération d'une famille de luthiers et de musiciens »
Télérama, 9 janvier 2013

« Leur force d'évocation visuelle est toujours exceptionnelle, les envolées des trois frères, partis des modes arabes sans s'y confiner, étant magnifiquement ponctuées par les percussions de Youssef Hbeisch »
Bertrand Brouard, Vibrations, 12 décembre 2012